L’après-guerre
Après la guerre, et comme partout en Europe, un vaste mouvement commémoratif s’empare des villes belges. Les monuments vont faire « quelque chose » de cette guerre pour que l’on ne soit pas mort pour rien, pour retrouver une identité et un avenir. Des stèles et des monuments s’élèvent, des plaques sont apposées, des obélisques sont érigés. On y retrouve l’image du combattant, de la mort ou des morts, symbolisant les divers portraits de cette guerre que s’en sont faits les contemporains. En pratique, ces monuments prennent place au centre des combats ou de la vie sociale : lieu de bataille, du décès, près des églises, sur les places publiques, dans les cimetières, etc.
En parallèle, des inaugurations en présence de représentations d’autorités belges, françaises, allemandes et australiennes se déroulent un peu partout dans le monde. Des animations, conférences et circuits de mémoire sont organisés. Il s’agit d’un véritable travail de mémoire afin d’approfondir les connaissances historiques du grand public sur les différents aspects du conflit. Autre aspect non négligeable : cela permet de stimuler économiquement les activités liées au tourisme de mémoire.
En parallèle, des inaugurations en présence de représentations d’autorités belges, françaises, allemandes et australiennes se déroulent un peu partout dans le monde. Des animations, conférences et circuits de mémoire sont organisés. Il s’agit d’un véritable travail de mémoire afin d’approfondir les connaissances historiques du grand public sur les différents aspects du conflit. Autre aspect non négligeable : cela permet de stimuler économiquement les activités liées au tourisme de mémoire.[object Object]